Coline (2), Je N’Aurai Pas Qu’Un Seul Partenaire Dans La Vie Et Heureusement

Je sors depuis quelques mois avec Arthur, qui est une année au dessus de la mienne. Plus le temps passe plus je suis bien avec lui et les sentiments sont grands. En plus c’est lui qui m’a dépucelée et je dois bien avouer que la première comme la plus part des fois suivantes, j’ai pris énormément de plaisir.

Malheureusement ce matin il m’a annoncé que lui et moi c’est fini. Il me donne pas trop d’explications, je fonds en larmes et lui me laisse seule. J’ai l’impression d’être au bout de ma vie, cela fait plus de 6 mois que nous sommes ensemble et il me largue comme une vieille chaussette.

De retour à la maison je ne dois rien laisser paraitre. Pendant le repas ma mère n’arrête pas de me demander pourquoi je mange pas. Je prétexte juste que je suis crevée et j’en profite pour aller rapidement m’enfermer dans ma chambre. Je plonge ma tête dans l’oreiller pour pouvoir pleurer sans être entendue. Je commence un peu à me calmer, ça doit surtout être la fatigue mais quand j’entends ma mère et son amant gémir c’est reparti pour un tour.

Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi mais au réveil je me rends compte que ce n’est pas suffisant. Les nuits suivantes ça ne s’améliore pas surtout qu’à peine 3 jours après notre rupture, je surprends déjà Arthur en train d’embrasser une fille qui est en cours avec moi. Je dois dire que je me pends une sacrée claque, mais au moins la raison de notre rupture est, maintenant, claire pour moi aussi.

Je suis prise d’un sentiment de jalousie qui se mélange à un esprit de vengeance, il ne me reste plus qu’à trouver un plan. Je profite d’une soirée chez un ami, heureusement Arthur et sa pouffe ne sont pas là, pour beaucoup parler avec un pote de mon ex. Bien sûr, nous parlons pas de ma relation passée mais plutôt de la beauté de la vie et de toutes les satisfactions qu’elle peut apporter.

Entre l’alcool et les pétards qui tournent je deviens de plus en plus philosophe et désinhibée.

Je suis de plus en plus tactile avec Clément, le mec que je dragouille depuis un moment. En plus milieu d’une phrase, je me penche vers lui et pose mes lèvres contre les siennes. Notre baiser est d’abord très gentil mais quand sa langue rentre dans ma bouche la température grimpe d’encore quelques degrés.

Alors qu’il n’hésite pas à me peloter les seins à travers mon chemisier, ma main se balade sur sa cuisse et remonte régulièrement vers son entrejambe. Je sens que, tout comme moi, il est bien excité car une sérieuse bosse commence à se former dans son pantalon. Quand nos bouches se décollent, j’ai besoin de reprendre ma respiration mais aussi de me rafraichir.

Je ne reste pas longtemps seule dans le jardin, Clément vient me rejoindre. Il me fait m’adosser à un mur pour continuer notre baiser langoureux. Maintenant il a une main sur un sein et l’autre directement sur ma cuisse et sous ma robe. Je sens que je commence à dégouliner dans ma culotte.

Alors que nos langues dansent ensemble, une petite voix dans ma tête se réveille. Elle me dit que je suis en train de faire une connerie, que je pense faire du mal à Arthur comme ça mais qu’en fin de compte, c’est moi qui serai blessée. Qu’en plus c’est l’alcool et l’herbe qui me font faire ça, qu’en fin de compte je ne désire pas ce garçon autant que ça.

J’ai beau ne pas arrêter de cogiter mais ça ne m’empêche de continuer à l'embrasser et nous caresser mutuellement. Clement me frotte les grandes lèvres à travers le triangle de tissu humide de ma culotte. Ma main, elle, empoigne fermement son paquet pour le masser à travers son jean. L’épaisseur du tissu ne rend pas ma mission très facile mais je n’ose pas ouvrir sa braguette.

Malgré la chaleur de son corps contre le mien, je commence à avoir froid. Nous rentrons rejoindre les autres, il est 2 heures du matin passé. Une partie des invites sont déjà en train de dormir dans leur sac de couchage. Je ne vais pas tarder à en faire autant.
J’att ma trousse de toilette et je file à la salle de bain me changer et me démaquiller.

J’ai changé de culotte, car elle était dans un sale état et quand j’enfile le short qui me sert de pyjama, la porte de la salle de bain s’ouvre. C’est Clément avec, à la main, un caleçon et une brosse à dent. Alors qu’il étale le dentifrice dans sa bouche, j’en profite pour reparler du baiser de ce soir, il le prend pour une permission de me caresser de nouveau.

Lui n’est pas gêné de la situation et a même plutôt l’air ravi. Apres s’être rincé, il vient derrière moi pour m’embrasse la nuque et me caresse au dessus de la hanche à même la peau. Ça fait un bon moment que nous avons ni bu ni fumé donc c’est bien notre volonté qui prend le dessus. Ses lèvres commencent à descendre sur mes épaules, je ne sais pas si c’est dû à ses doigts ou sa bouche mais je commence à frissonner.

Je pose le coton recouvert de mon maquillage sur le lavabo et me retourne pour l’embrasser à pleine bouche. C’est très intense et puissant, mes mains parcourent son dos, les siennes font pareil mais ont plus tendance à descendre sur mes fesses. J’aime ça alors je le laisse faire. Quand nos bouches se descellent, il s’assoit sur le rebord de la baignoire et j’en profite pour nettoyer mes dents.

Je pensais qu’il admirait tout mon corps mais en l’observant dans le miroir, je remarque que ses yeux ne quitte pas mes fesses. Malgré le vieux short que je porte c’est vrai que mon cul est joliment rebondi. J’aime sentir le regard des hommes sur moi, j’adore penser qu’ils m’imaginent complètement nue et qu’ils me désirent.

Une fois que je me susi rincer la bouche, je m’assois sur ses genoux et nous continuons de nous embrasser et nous peloter. Mes mains passent dans ses cheveux alors que lui se consacre uniquement à mon postérieur. Je rapproche mon mollet de son entrejambe pour vérifier qu’il bande bien, apparement je l’excite vraiment vu comme c’est dur.

Je ne sais pas pourquoi il se relève et cache la bosse toujours formée dans son pantalon.
De le voir ainsi une vague de plaisir monte en moi et je m’étonne de lui demander:
« Tu vas réussir à dormir dans cet état? »
Sans même lui laisser le temps de me répondre, je m’agenouille devant lui, ouvre et baisse son pantalon.

Son sexe est enfermé dans un slip noir qui met encore plus en valeur ses attributs. Je le retire aussi et me retrouve face à une bite droite comme un I entouré d’une forêt de poils noirs. Je ne perds pas de temps et le prends directement en bouche, jusqu’à ce que son gland s’approche de ma glotte. Je fais glisser mes lèvres le long de son membre alors que mes mains caressent ses couilles.

Ce n’est que la deuxième bites dont je m’occupe mais vu les gémissement de monsieur, j’ai l’air de bien me débrouiller. Son sexe me semble de la même longueur que celui d’Arthur mais je dois ouvrir en plus grand la bouche pour bien l’accueillir, il est nettement plus large. Je le suce encore quelques minutes mais je décide d’arrêter car il fait de plus en pus de bruit et que la porte n’est pas fermée à clef. J’ai pas envie d’être surprise dans cette position.

Je profite d’être toujours à genoux pour entièrement retirer le jean et le slip de mon nouveau petit copain, puis je l’aide à enfiler son caleçon qui cache mal son érection. Le gros de la troupe est en bas dans le salon, à cette étage les chambres sont interdites mais je sais que notre hôte à aménager la grande pièce du deuxième avec des matelas.

J’att la main de Clément et nous moutons inspecter l’étage supérieur. Heureusement pour nous il est totalement inoccupé, je ferme la porte à clef. Clément se jette sur moi pour me déshabiller alors qu’il a déjà enlevé son caleçon. Sa bouche se pose directement sur ma poitrine pour la lécher délicatement.

Quand ses lèvres emprisonne un de mes tétons, son index vient glisser entre mes grandes lèvres. Au moment où il échange de seins et commence à me mordiller, il introduit lentement son doigt en moi et le fait tournoyer.
Je n’ai pas besoin de starter, je suis déjà bien chaude, mes doigts parcourent furieusement son dos accompagné de gémissements, vu que les autres sont deux étages en dessous, on peut plus facilement se laisser aller.

Mon nouveau petit copain, m’allonge sur un des matelas et s’installe entre mes cuisses. Sa langue lape l’entrée de ma grotte bien inondée et remonte jusque sur mon clito, sur lequel elle tourne un peu avant de redescendre. Il me bouffe la chatte amoureusement, comme Arthur ne la jamais fait, je sens qu’il aime vraiment ça.

Quand ses doigts rentrent dans la danse et me pénètrent, je ne tarde pas à jouir. Malgré mon orgasme, j’ai très envie de lui alors je le fais remonter sur moi mais il m’arrête en me disant:
« On ne peut pas! »
Je continue de me dandiner pour profiter des frottements de son sexe contre le mien et lui demande pourquoi, Il m’explique qu’il na pas de préservatifs sur lui et rajoute que vu ma tenue je ne dois pas en avoir non plus.

Je ne pense même pas au risque des maladies et lui lance:
« Je prends la pilule, rentre en moi! »
Il empoigne son sexe, déjà bien lubrifié par ma mouille, et me pénètre délicatement et très lentement. Il va et vient en moi de plus en plus rapidement et je sens une chaleur naitre en bas de mon ventre.

Malheureusement, il se retire assez rapidement pour s’assoir entre mes cuisses. Il me fait plier les genoux et glissent ses jambes sous les miennes en se rapprochant. Clément me fait découvrir une nouvelle position à laquelle j’adhère tout de suite (plus tard j’ai vérifier, c’est celle du lotus).

D’abord il a un accès directement à mes seins et tétons mais aussi à mon clito et il en profite. C’est vrai qu’il me prend moins profondément qu’en missionnaire mais je sens encore plus sa queue bien large frotter mes parois internes. Ses mains augmentent la pression sur mon corps et je ne tarde pas à sentir mes muscles intimes se contracter violemment.

Mine de rien le petit Clément est bien doué et endurant, c’est déjà la deuxième fois qu’il me fait atteindre la jouissance et il est toujours raide comme un piquet. Il me lime encore un bon moment et se retire pour me faire tester, encore, une nouvelle position. Il reste assis sur le lit et me manipule pour que je m’assois sur lui. Je pose mes jambes repliées autour des siennes et m’empale d’un coup sec sur lui.

Elle porte bien son nom, la chaise à bascule, car c’est un peu casse gueule! J’att ses mollets pour assurer mon assise et je commence à monter et descendre sur lui. Clément en profite pour me malaxer les seins mais surtout les tétons. Ses lèvres se ballade dans mon dos au gré de l’ampleur de mes vas et viens sur lui. Je ne pensais pas que sa bouche pourrait faire autant d’effet sur cette partie de mon corps.

Quand sa main gauche descend sous mon ventre puis mon entrejambe, je ne me contrôle plus. Non seulement mes mouvements sont de plus en plus violents mais je crie comme une déchainée. Il fait rouler deux doigts sur mon petit bouton alors que je n’arrête pas de contracter mon vagin pour augmenter son plaisir. Je ne pense plus qu’au plaisir qu’il me donne.

Il est sur le point de jouir et moi aussi, du coup il m’allonge sur le dos et pose mes jambes sur ses épaules. Alors qu’il me ramone ardemment, son pouce passe et repasse sur mon clito de plus en plus gonflé. Avant d’exploser, de nouveau, je lui demande de ne pas jouir en moi mais sur moi. Il se retire rapidement et se branle au dessus de mont de Vénus.

Il envoie un premier jet, transparent j’ai eu peur que ça soit de la pisse, sur mes lèvres intimes. Je le mélange à ma mouille pour me doigter et ça m’excite encore plus. Le second explose sur mon petit bouton et déclenche en même temps mon troisième orgasme de la nuit. Les suivants continuent d’arroser mes doigts et mon con qui ont du mal à se calmer. Vu comme il a giclé, je regrette de ne pas avoir ressenti son explosion en moi.

Une fois que j’ai repris mes esprits, j’ai fouillé la pièce pour trouver de quoi m’essuyer et je suis passée des bras de Clément à ceux de Morphée. Le lendemain matin nous sommes descendus prendre le petit déjeuner avec les autres et avons fait comme si de rien était. Une copine est venue me chuchoter dans l’oreille qu’ils nous ont entendu gémir dans la nuit. J’aurai du avoir honte mais j’étais fière.

De retour, chacun chez soit, j’ai beaucoup échangé avec Clément par SMS. Je voulais vérifier que j’avais pas fait de bêtises. Il a passé son temps à me complimenter sur mon corps et mes formes et me dire qu’il avait hâte de me revoir. J’étais émoustillée par ses mots et son désir pour moi. Je me suis masturbé en repassant au pouvoir qu’ont les femmes sur les hommes grâce au sexe (avec le recule il m’arrive de me demander si mon côté dominatrice est né ce jour là).

Je suis venue à la conclusion que Clément est célibataire, je le suis aussi. Nous sommes bien ensemble et de toutes les façons mon ex est avec sa pute. Chaque semaine ma mère se tape un nouveau mec alors je vais peut être suivre le même chemin qu’elle. Nous nous sommes fait dépister pour continuer à baiser sans capote et surtout sans soucis.

J’invite enfin Clément chez moi, officiellement pour réviser. Une fois enfermé dans ma chambre, nous étudions uniquement la reproduction. Les habits disparaissent rapidement, après nous être embrassés et caressés, je prends appuie sur le lit et il me met en levrette. J’adore sentir ses couilles venir taper mes fesses. Nous baisons bercé par nos gémissements et des « encore ».

De temps en temps il me demande de faire moins de bruits mais je ne l’écoute pas. Je sais bien que ma mère et mon frère sont dans la maison mais j’en ai rien à faire. Je pense même que ça m’excite qu’ils puissent nous entendre, surtout ma mère ça lui permettra de comprendre que sa petite fille est devenue une femme. En plus comme ça elle saura que, moi aussi, je prends du plaisir sexuel.

Même si nous avons fait les tests, je préfère qu’il n’éjacule pas en moi. Je ne sais pas d’où me vient ce blocage surtout que je fantasme souvent à une belle bite qui se glisse dans ma chatte et se contracte en moi juste avant d’exploser. Après m’avoir longuement ramoner, il sort de ma grotte trempée et se repend sur mes fesses.

Nous avons continuer à nous voir, aussi bien pendant les heures de cours qu’à l’extérieur. J’ai mème réussi à l’entrainer dans les toilettes, nous sommes rentrés dans la même cabine que celle où Arthur et moi avons fait l’amour. Nous avons commencé à nous chauffer mais l’odeur de pisse ambiante nous a trop dérangé alors nous sommes partis sans jouir.

Je susi heureuse, j’ai eu ma revanche sur mon ex et je passe d’excellent moment avec mon nouveau mec. Je sais bien que je ne suis pas amoureuse de lui mais chacun y trouve son compte. Je suis quand même triste, le jour où il vient me voir pour rompre avec moi. C’est le moment où il m’a le plus déçu.

Clément m’explique qu’il commence à se sentir mal par rapport à Arthur. Il me dit que nous avons passer un bon moment ensemble mais qu’il préfère que l’on reste ami, quelle platitude! Je m’énerve contre lui, lui donne une claque et avant de partir, je lui précise bien qu’il ne pourra plus jamais profité de mon corps.

J’ai été déçu de la fin de mes deux dernières relations. Mais l’avenir me prouvera que je serai aussi déçue des 2 suivantes. J’ai choisis des mecs un peu plus vieux en pensant avoir à faire à de vrais hommes mais ce n’était pas ça. En plus ils ont jamais réussi à me faire jouir comme Arthur et Clément.

Je pense que j’ai besoin d’un vrai changement, peut être qu’il faudrait que je vise encore plus âgé. Vu la mentalité des garçons qui suivent les mêmes cours que moi il va falloir que je chasse ailleurs en tout cas. Heureusement, il ne me reste plus qu’une année à tenir avant de pouvoir quitter le nid familial pour voler de mes propres ailes. J’irai m’installer à Paris pour poursuivre mes études, mais avant tout ça j’ai d’autres histoires à vous raconter…

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